Un Ballet low-tech. À l’heure où la robotique cherche à humaniser ses inventions, l’installation explore par le biais de la culture low-tech, une forme primitive dont les mouvements répétitifs posent la question de l’humanité de l’objet. Les instruments extraits de leur cadre usuel, prennent leur autonomie, se frottent aux limites que conditionne leur source d’énergie. La perception comique du ballet laisse progressivement la place à une sensation de malaise, issue du constat de l’impossible fuite et de la dépendance.